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Sujet sensible lorsqu’il s’agit d’automobile, le stationnement dans les lieux d’habitation est un non-sujet quand il s’agit du vélo. Lancement de la journée à 9h30 avec Annick Lepetit.
Lien vers la manifestation et le programme
En apparence trop simple – un vélo, ça se gare partout, ça se monte dans son appartement, ça se range près des poubelles… Les cyclistes en ville sont pourtant de plus en plus nombreux, et ils sont aussi différents : résidents, visiteurs occasionnels, touristes, étudiants. Aussi le stationnement des vélos est-il un enjeu. Mais si les collectivités se sont de plus en plus attelées à augmenter l’offre de stationnement aux abords des gares et à développer les arceaux vélo sur l’espace public, le stationnement des vélos dans les espaces privés reste le parent pauvre. Qu’il s’agisse des lieux d’habitation, et notamment du collectif ancien, des résidences universitaires, des lieux de travail… C’est pourtant un élément déterminant du succès et du développement de l’usage du vélo.
Il faut considérer la chaîne de transport, du domicile à destination. Le problème se pose également avec force dans les quartiers de la politique de la ville. Le vélo n’est pas différent de la voiture. Si on peut le stationner dans de bonnes conditions de sécurité et de confort, c’est-à-dire ne pas le porter sur son dos dans l’escalier ou l’ascenseur, on l’utilise ou on envisage de le faire. Aujourd’hui, ce n’est pas faire du vélo ou songer à s’y mettre qui est compliqué, c’est en posséder un pour encore trop de gens ! Un comble pour un produit dont le prix de vente moyen en France se situe autour de 250 €.